Le « Prix de thèse » a été créé en 2014 par la Maison Archéologie & Ethnologie, René Ginouvès qui est devenue le 1er janvier 2020 la MSH Mondes.
Il récompense un(e) jeune chercheur(e) ayant soutenu sa thèse dans le cadre d’un de ses laboratoires de recherche. Le prix, d’un montant de 1 500 euros, est destiné à la publication de la thèse lauréate dans l’une des collections des Éditions de la MSH. Le prix de thèse est décerné selon une fréquence bisannuelle.
2018
Le Prix de thèse 2018 de la Maison Archéologie & Ethnologie, René-Ginouvès a été décerné le 28 septembre 2018 à Benoit Mille, pour sa thèse intitulée « D’une amulette en cuivre aux grandes statues de bronze : évolution des techniques de fonte à la cire perdue, de l’Indus à la Méditerranée, du 5e millénaire au 5e siècle av. J.-C. ».
2016
Le Prix de thèse 2016 de la Maison Archéologie & Ethnologie, René-Ginouvès a été décerné le 17 octobre 2016 à Valérie Vandenabeele, pour sa thèse intitulée « Les nouveaux horizons des Tibétains de Pudacuo. Politique, conservation et globalisation dans le premier parc national de Chine (Shangri-La, Yunnan) », soutenue le 17 décembre 2014 sous la direction de Brigitte Baptandier, dans le cadre du Laboratoire d’ethnologie et de sociologie comparative (LESC UMR 7186) et de l’École doctorale 395 « Milieux, cultures et sociétés du passé et du présent », de l’université Paris Nanterre.
La thèse de Valérie Vandenabeele a été publiée sous le titre La société d’après. Politique sino-tibétaine et écologie au Yunnan aux Presses universitaires de Paris Nanterre, collection « Sociétés humaines dans l’histoire ».
Un prix spécial du jury a également été attribué, à titre exceptionnel, à Agnès Giard pour sa thèse intitulée « Humanité désirée, humanité simulée. Étude de l’effet de présence dans les objets anthropomorphiques au Japon », soutenue le 29 juin 2015 sous la direction de Laurence Caillet, dans le cadre du Laboratoire d’ethnologie et de sociologie comparative (LESC UMR 7186) et de l’École doctorale 395 « Milieux, cultures et sociétés du passé et du présent », de l’université Paris Nanterre.
La thèse de Agnès Giard a été publiée sous le titre Un désir d’humain. Les love doll au Japon aux Éditions Les Belles Lettres.
2014
Le Prix de thèse de la MAE 2014 a été décerné à Sylvie Beaud pour sa thèse « Masques en parade. Étude d’une identité Han à la jonction du politique et du rituel : l’exemple du Théâtre de Guan Suo (Yunnan, Chine) ».
La thèse de Sylvie Beaud a été publiée sous le titre Masques en parade – Ethnicité et enjeux de pouvoir dans le Sud-Ouest de la Chine aux Presses universitaires de Paris Nanterre, collection « Sociétés humaines dans l’histoire ».