Publications et données en archéologie : retour d’expérience de la revue Gallia
Les lundis numériques de l’INHA
Présentation de la séance
Créée en 1942 par le CNRS, la revue Gallia – Archéologie des Gaules est une des principales revues d’archéologie nationale. En 80 ans d’existence, sa politique éditoriale a évolué pour s’adapter aux nouvelles orientations et pratiques de son champ disciplinaire, aux évolutions des outils et supports de diffusion, et à la place spécifique qu’elle occupe au sein du paysage de l’édition française. La revue publie aujourd’hui l’ensemble de ses contenus en accès ouvert, et elle propose à ses auteurs d’associer à une publication – papier et numérique – un dépôt électronique pérenne de données-sources. L’ensemble de cette production, structurée sur des standards ouverts, alimente une base de données bibliographiques qui permettra d’interroger et de visualiser l’ensemble de la production de la revue (choix thématiques, réseaux d’auteurs, accès cartographique, etc.). Cet exposé sera l’occasion d’expliciter les objectifs de la revue et son processus de publication, et de présenter les modalités d’exposition – encore inédite – de ce corpus de données.
Captation
À propos du séminaire
L’INHA effectue depuis une dizaine d’années une veille active sur le développement des technologies et méthodologies appliquées à la recherche dans le domaine des Humanités numériques, particulièrement en ce qui concerne l’histoire de l’art et le patrimoine culturel. De nombreux contacts et échanges sont régulièrement établis entre les acteurs du numérique au sein de l’établissement, et les chercheurs ou équipes de recherche français ou étrangers engagés à divers stades dans des projets innovants concernant le traitement des contenus liés à la recherche et à la documentation en histoire de l’art et en sciences humaines et sociales.
Comité scientifique
Katia Bienvenu (INHA), Jean-Christophe Carius (INHA), Manuel Charpy (laboratoire InVisu, CNRS/INHA), Johanna Daniel (INHA), Armand Delcros (INHA), Martine Denoyelle (INHA), Maud Favre-Rochex (INHA), Dominique Filippi (INHA), Michèle Galdemar (INHA), Marie Garambois (INHA), Juliette Hueber (laboratoire InVisu, CNRS/INHA), Loïc Jeanson (INHA), Pierre-Yves Laborde (INHA), Victoria Le Boloc’h-Salama (INHA), Federico Nurra (INHA), Chloé Pochon (INHA), Bulle Tuil Leonetti (laboratoire InVisu, CNRS/INHA)